Petit frère, la grande histoire Aznavour ║ 30 sept

Du mercredi au samedi à 20h30, dimanche à 17h00

Tout public

© Boshua

J’aimerais débarbouiller ce gris/ En virant de bord.

On a tous un jour entendu ou fredonné les chansons de la légende Charles Aznavour, mais on ne connait peut-être pas l’histoire de cet homme et l’Histoire avec un grand H qui l’a forgé.

« Aïda, c’est ma mémoire », disait-il de sa sœur. Charles Aznavour, témoin surprenant de périodes troublées, non seulement celle du Génocide arménien, mais aussi celle de l’Occupation nazie en France. Le récit de cette femme, Petit frère, publié en 1986, raconte les pérégrinations des Aznavourian, véritable saga familiale avec, au premier plan, Charles.

Laure Roldán et Gaëtan Vassart s’emparent de ce texte, et mettent en scène l’exil des parents arméniens, la pauvreté à Paris, la relation décisive de Charles avec Édith Piaf et la conquête du music-hall. Ils retracent avec sensibilité une histoire, celle de l’intégration dans un pays, par la langue et à force de talent et de volonté. Celle d’une odyssée singulière qui éclaire tout un siècle.

Car si le destin de Charles Aznavour touche à l’universel, c’est qu’il porte en lui le chant de l’exil.

Cie. La Ronde de Nuit

Mise en scène : Gaëtan Vassart, en collaboration avec Laure Roldán

Ecriture : Laure Roldán, Gaëtan Vassart, Armen Verdian.

Librement inspiré de Petit Frère d’Aïda Aznavour-Garvarentz, éditions Robert Laffont

Avec : Laure Roldán et Grégoire Tachnakian

Lumière : Eric Toxé

Son : Christophe Séchet

Régie : Jonathan Christophe

Collaboration artistique et création vidéo : Michelle Bevilacqua, Claire Biersohn, Anatoli, Papadopoulou, Nadine Simon

Production : La Compagnie La Ronde de Nuit, La Compagnie Juana La Loca et Célimène

Contact presse : Cécile Morel (cecileasonbureau@orange.fr)

Avec le soutien de la Mairie de Paris, des Théâtres de la Ville de Luxembourg, du ministère de la culture du Grand-Duché de Luxembourg, du Ministère de la Culture arménien et de l’Ambassade de France en Arménie.

Remerciements à L’UGAB et à la Fondation Aznavour.

Durée : 1h10