Trois fois rien ║ 18 > 22 sept
A eu lieu le 22/09/2019
Du 18 au 22 septembre 2019
Du mercredi au samedi à 20h30, le dimanche à 17h00
Festival Pleins Feux sur la jeune création
Spectacle tout public
© Sipan Mouradian
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▶ Le MERCREDI 18 septembre à 20h30
LE KING (extraits de saint-Elvis de Serge Valletti) / Lukas Dana
« Il est le king. Elvis. Il le sait du plus profond de ses tripes. Mais il est bien le seul à le savoir. C’est à travers chansons, danses et anecdotes qu’il s’efforce de convaincre le monde qu’il est Elvis Presley.
Plus qu’une crise, c’est une tragédie identitaire que va vivre le roi du rock. Ou le roi des mythomanes ? Nul ne le sait vraiment… »
MARTYR
« Martyr n’a pas d’âme, pas d’âge, sa musique n’est pas d’un genre proprement définissable. La joie de vivre est difficile à trouver, on est plutôt face à une hargne, à un mal être exprimé dans des sonorités violentes et belles. Ses influences sont Tyler the Creator, Anderson Paak, Damso ou Boris Vian. »
▶ Les JEUDI 19 et VENDREDI 20 septembre à 20h30
ANOUK / De et avec Asja Nadjar, mise en scène Claire- Marie Daveau, lumières Emma Schler et Boris Pijetlovic
« Anouk a cent douze ans. Chaque jour elle époussette le buste en pierre de son défunt mari. Aujourd’hui, elle ne prend pas appui au bon endroit, et tombe. Étourdie par sa chute, Anouk poursuit tant bien que mal ses gestes quotidiens tandis que son imagination danse confusément avec ses fantômes et sa solitude.
Petite, j’avais l’impression que les vieux jouaient à être vieux, qu’ils portaient des masques. Quand je vois le visage de ma grand-mère passer de la prostration à l’enfance, je continue de le croire. Ses expressions me fascinent. J’aime aussi comment sa parole peut parfois surgir – joyeusement désinhibée ou franchement cruelle – après un long silence grave, un égarement, où résonne tout le vertige d’une vie. J’ai vingt-huit ans, et j’ai envie d’incarner cette versatilité que je vois chez des personnes qui en ont au moins cinquante de plus. »
Dossier de Presse du spectacle « Anouk«
DACTYLOGRAPHE DU COEUR / Maïa Foucault et Joachim Machado, Olivier Hussenet, direction artistique, production du Hall de la chanson
« Colette Magny « chanteuse de blues » française, Colette Magny « chanteuse engagée », Colette Magny trop grosse, Colette Magny qui refuse les étiquettes, Colette Magny qui refuse les maisons de disque, Colette Magny qui continuera à sortir des albums coûte que coute, en s’autoproduisant.
En recherche constante, elle a déployé une audace incomparable dans ses expérimentations musicales, menant la chanson aux confins du free-jazz et de la musique expérimentale. Pour trouver une « parole qui vienne du cœur ».
Joachim Machado – guitariste, et Maïa Foucault – comédienne, ont revisité quelques une de ses chansons, simplement, pour faire entendre la fragilité et la poésie de cette oeuvre. »
▶ Le SAMEDI 21 septembre à 20h30 et le DIMANCHE 22 septembre à 17h00
INTROSPECTION ORGANIQUE / Alexiane Torres
« C’est un texte écrit avec le cœur, appris par cœur , qui me tient beaucoup à cœur .
La redondance de cette première phrase qui décrit le petite seule en scène que je vais vous présenter vous donne quelques indices sur son organicité : elle est ici à prendre au pied de la lettre …
En espérant que votre système nerveux est bien accroché , vos globes oculaires aussi vifs que les différents personnages que je vais vous interpréter et votre cœur prêt à bondir au même rythme que vos zygomatiques (j’en nourri en tout cas l’espoir ) , hâte de vous retrouver les 21 et 22 septembre au Théâtre de l’Opprimé ! «
CONFÉRENCE SUR LA DOULEUR / Thibault Lustig
« Une conférence inédite du professeur Crève-Coeur sur un sujet aussi vaste et passionnant qu’est la douleur. Serait-il préférable de vivre dans un monde sans douleur? »
LES PAPILLONS NOIRS / Gabriel Acremant et Martin Letherme, Olivier Hussenet, direction artistique, production du Hall de la chanson.
« Gainsbourg, esthète connaisseur des beaux-arts, de la musique et de la littérature, dandy, poète post-romantique, provocateur… etc. a épousé son époque, en conservant une distance critique où il exerce son regard ironique.
Incarnation ambivalente, Gainsbourg est à la fois misogyne et amoureux fou des femmes, immoral et éthique, ultra-viril et efféminé, brut et raffiné, glacial et tendre.
Toujours à la recherche de nouvelles sonorités, de nouvelles influences, il explore les continents de la musique pour trouver son langage, sans jamais s’installer.
Gabriel Acremant et Martin Leterme sont partis à la rencontre des papillons noirs du personnage. C’est en réinterrogeant quelques unes de ses œuvres enfouies -sur de nouveaux territoires musicaux (comme le hip-hop) – qu’ils ont eu envie de partager un peu de ce que leur inspire Gainsbourg. »
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Compagnie Le Pari des Bestioles
Conception : Le Pari des Bestioles
Mise en scène : Jean Joudé
Interprétation : Asja Nadjar, Gabriel Acremant, Joaquin Machado, Lukas Dana, Maïa Foucault, Martin Leterme,Thibault Lustig, Remi Woodall
Durée : 1h30
Soutien : du Jeune Théâtre National
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▪ Tarif plein 16€ ▪ Tarif réduit 12€ (sur justificatif : étudiants, – de 30 ans, plus de 65 ans, demandeurs d’emploi, intermittents) ▪ Tarif très réduit 10€ (groupe à partir de 10 personnes, adhérents, partenaires)
© Sipan Mouradian