Alain Carbonnel
Alain Carbonnel
Formé tout d’abord au conservatoire de Marseille dans la classe de Christian Benedetti, il poursuit sa formation au Théâtre National de Strasbourg (Groupe 36), où il travaille avec Stéphane Braunschweig, Pavel Miskiewitch, Jean-Christophe Saïs, Christophe Rauck, Jean-Yves Ruf, Matthieu Roy, Jean-François Peyret, Marie Rémond, Yann-Joel Collin et Alain Françon.
Après le TNS, il travaille avec Anne-Laure Liégeois (Edouard II de Marlowe), Joël Dragutin (On ne badine pas avec l’amour de Musset), Bruno Freyssinet et William Nadylam (Stuff Happens de David Hare), Frédéric Sonntag (Toby ou le saut du chien, Atomic Alert, Sous-contrôle, Figures et mythes de George Kaplan de Frédéric Sonntag), William Mesguich (La Vie est un songe de Calderon), François Rancillac (Le Roi s’amuse de Victor Hugo), Jacques David (Anne-Marie de Philippe Minyana), Brice Cousin et Cécile Messineo (Le Petit Chaperon Rouge), Matila Malliarakis (Prenez pas les morts pour des cons, Les plus inconnus des ACI connus, cabarets), Dominique Dolmieu (Cernodrinski revient à la maison, de Goran Stefanovski), Dimitar Uzunov (Protohérissé (BP : Unabomber) de Gergana Dimitrova et Zdrava Kamenova),Hugues De la Salle (Les Enfants Tanner, d’après Robert Walser) .
Parallèlement, entre 2007 et 2015, il met en espace plusieurs lectures au Jeune Théâtre National, au Théâtre du Rond-Point ou encore à la Maison de l’Europe et de l’Orient.
En 2011, il met en scène La Folle allure de Christian Bobin aux Arènes de Nanterre.
En 2013, il met en scène Barbe-bleue, espoir des femmes de Dea Loher, spectacle joué au Théâtre 13 pour la finale du Prix Théâtre 13 jeunes metteurs en scène.
En 2014, il met en scène Merveilles de la guerre, montage de textes et d’oeuvres d’artistes ayant vécu la Grande Guerre, au Goethe-Institut à Paris.